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Les émotions liées aux problèmes de peaux

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Interview de Corine Smadja Naturopathe et auteur

Salut les petits loups, tu trouve ta peau moche? Tu souffre d’acné ou d’eczéma? Cette interview va te plaire! Corine Smadja nous guide à la découverte des émotions qu’exprime nos problème de peau!

L’interview est disponible en vidéo ici


Laura : bonjour à tous ! Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd’hui pour cette nouvelle interview. Et je suis particulièrement heureuse car j’accueille Corinne Smadja qui est naturopathe et auteure du livre « je crée mes cosmétiques bio ; facile et pas cher ». Alors Corinne, peux-tu nous résumer brièvement ton parcours et nous dire comment tu pratiques la naturopathie ?


Corinne : d’accord.

Bonjour à tous, je suis Corinne Smadja, et je suis naturopathe depuis 2005. J’ai d’abord suivi une formation d’infirmière en bloc opératoire, mais j’ai rapidement eu envie de changer de parcours. J’étais intéressée par tout ce qui est nutrition ou encore psychologie et développement personnel. Je me suis rendue compte que le bloc opératoire n’était pas le lieu où j’allais m’épanouir. Un jour, je suis tombée par hasard sur un magazine qui recherchait des “cobayes” pour que les étudiants en naturopathie puissent passer leur diplôme.

J’ai trouvé ça très drôle et je me suis dit “je vais y aller, ça a l’air marrant”. Je n’y suis pas allée pour voir ce qu’était le métier de naturopathe, j’y suis allée pour pouvoir vivre une expérience amusante. Je me suis rendue sur les lieux, j’ai joué le jeu et la future naturopathe m’a posé plein de questions. J’étais en totale admiration devant elle, j’écoutais ses conseils et tout ce qu’elle me disait.

C’est quand je suis repartie de là que je me suis dit “ben voilà ! C’est ça que je veux faire”.
Ça a été comme une évidence. Je cherchais depuis longtemps à faire autre chose qu’infirmière au bloc. J

‘avais déjà pensé à devenir diététicienne ou encore coach sportif, ou bien encore me rediriger vers la psycho, mais je ne savais pas vraiment. C’est quand j’ai suivi cette consultation que ça s’est révélé comme l’évidence.

Laura : Bonjour à tous, je suis Corinne Smadja, et je suis naturopathe depuis 2005. J’ai d’abord suivi une formation d’infirmière en bloc opératoire, mais j’ai rapidement eu envie de changer de parcours. J’étais intéressée par tout ce qui est nutrition ou encore psychologie et développement personnel. Je me suis rendue compte que le bloc opératoire n’était pas le lieu où j’allais m’épanouir.

Un jour, je suis tombée par hasard sur un magazine qui recherchait des “cobayes” pour que les étudiants en naturopathie puissent passer leur diplôme. J’ai trouvé ça très drôle et je me suis dit “je vais y aller, ça a l’air marrant”. Je n’y suis pas allée pour voir ce qu’était le métier de naturopathe, j’y suis allée pour pouvoir vivre une expérience amusante. Je me suis rendue sur les lieux, j’ai joué le jeu et la future naturopathe m’a posé plein de questions. J’étais en totale admiration devant elle, j’écoutais ses conseils et tout ce qu’elle me disait. C’est quand je suis repartie de là que je me suis dit “ben voilà ! C’est ça que je veux faire”.


Ça a été comme une évidence. Je cherchais depuis longtemps à faire autre chose qu’infirmière au bloc. J’avais déjà pensé à devenir diététicienne ou encore coach sportif, ou bien encore me rediriger vers la psycho, mais je ne savais pas vraiment. C’est quand j’ai suivi cette consultation que ça s’est révélé comme l’évidence.


Laura : oui ; pour ma part, j’ai suivi ma première séance de naturopathie il n’y a pas longtemps et en tant que patiente, ce qui m’a fait le plus de bien, ça a été l’écoute. Rien que ça, et le fait qu’il y ait un questionnaire très général qui englobe le psychologique et le physique est important. Je trouvais ça d’autant plus pertinent qu’en médecine, je trouve qu’il n’y a pas toujours cette écoute. J’ai trouvé cela participatif est beaucoup plus concret.


Corinne : oui on est très morcelé en médecine. Par exemple, on va avoir un spécialiste pour les articulations, on va avoir un spécialiste respiratoire, alors que la naturopathie va prendre la personne dans sa globalité.


Laura : tout à fait. Et ça, c’est admirable parce que la naturopathe relie les choses entre elles. Alors Corinne, je t’ai contactée à la base car nous avons le même éditeur, ce qui m’a donné la chance de pouvoir te connaître. Et quand je t’ai eue au téléphone, je t’ai proposé plusieurs thèmes pour cette interview, mais tu m’en as proposé un bien meilleur : les émotions liées aux problèmes de peau et à la santé en général ; Je trouve le sujet vraiment passionnant. C’est vrai que pour ma part, je m’intéresse plutôt au côté esthétique, mais peux-tu nous dire et nous expliquer pourquoi tu penses que le corps fait ressortir ses émotions comme ça, de façon souvent disgracieuse ?


Corinne : c’est un phénomène que j’ai pu tout d’abord observer sur moi et ensuite sur mes clients. J’ai un bon exemple j’avais une cliente qui venait me voir pour une séance d’EFT, à cause de problèmes émotionnels.

On a fait la séance et à la fin elle me dit « ah ben tiens, j’ai plus mal au dos… Ah oui, je ne vous l’avais pas dit, mais après la séance chez vous, j’avais rendez-vous avec l’ostéopathe mais je ne sens plus rien ».

Nous avons donc réglé son problème, et dans le même temps, sans le savoir, ses émotions. Revenons à présent sur les problèmes de peau et plus particulièrement les problèmes d’acné, d’eczéma ou encore de psoriasis, qui sont les maladies de peau les plus courantes observées aujourd’hui.

Il faut se dire qu’en fait, le corps a poussé le contact avec l’autre au maximum, car ces maladies traduisent le rapport à l’autre et dans l’acné, l’eczéma ou le psoriasis, moi je vois surtout beaucoup de colère. Je vois beaucoup de gens qui, pour ne pas extérioriser leur colère envers l’autre et pour ne pas lui dire «je te rejette”, se rejettent eux-mêmes. Parce que quelqu’un qui a des problèmes de peau, c’est quelqu’un qu’on n’a pas forcément envie d’aborder.

Les plaques de psoriasis par exemple ne donnent pas forcément envie de toucher son interlocuteur. Donc, quelque part, le problème de peau exprime le sentiment de : “je ne suis pas beau, je ne suis pas là pour te plaire, ne m’approche pas”.

Le psoriasis reflète souvent un problème en lien avec le contact, que ce soit le contact avec soi ou le contact avec la personne d’en face. Au-delà de la peau, il y a également toutes les problématiques et les émotions non gérées liées aux « autres ». Celles-ci vont provoquer des pathologies diverses, que ce soit une fracture du genou, que ce soit un problème de cancer ou encore de diabète. Pour moi, les émotions sont souvent à la racine de la pathologie.


Laura : donc, en fait, ce serait le reflet de ce que l’on ressent à une période donnée. Du coup, tu parlais de colère ; c’est de la colère qui peut être tournée plutôt vers soi ou vers les autres ?


Corinne : malheureusement, quand la colère n’est pas consciente et de plus, orientée vers la mauvaise personne, on peut développer certaines pathologies. Alors que lorsque la colère est consciente et qu’on utilise cette énergie pour nous, car oui, la colère est une énergie, on pourrait l’optimiser de façon incroyable. Et c’est le cas avec toutes les autres émotions : la colère et la tristesse par exemple, des énergies très fortes toutes les deux et qui peuvent être utilisées à bon escient. Par exemple, quand on a peur avant une épreuve, mais qu’on y va quand même, on peut faire de belles choses en l’utilisant positivement. On peut l’utiliser pour dépasser des obstacles, écrire un livre, ou courir un marathon ! Là, on utilise cette énergie pour nous, c’est ce que j’appelle “la colère consciente”.


Laura : je me rends compte de mon propre exemple et de mon parcours à travers ce que tu dis. Pour ma part, je suis dyslexique et dysorthographique, et pas du tout reliée à ma féminité ; j’ai pourtant écrit un livre sur la cosmétique.


Corinne : tu es passée à travers toutes les difficultés malgré tout.


Laura : oui, bien sûr.


Corinne : finalement, quelque part en toi, il existe un endroit où tu es appelée à faire ce que tu aimes.


Laura : oui je pense comme toi, que rien n’est dû au hasard. Moi, par exemple, je sais que j’ai un souci de psoriasis qui s’est déclaré quand j’ai commencé à organiser le salon “slow” de Strasbourg. C’était quelque chose que je n’avais jamais fait avant, et pour moi, c’était une grosse pression. Savoir qu’il y avait des grosses entreprises qui allaient se déplacer de loin pour le salon et que ça leur engendrerait beaucoup de frais. J’avais peur de ne pas pouvoir les recevoir dans les conditions optimales. Et j’avais peur qu’il n’y ait pas assez de monde au salon. J’avais peur que leur visite au salon ne suffise pas pour rentabiliser leur voyage. J’avais un énorme sentiment de responsabilité vis-à-vis d’eux. Depuis ce jour mon psoriasis est plus ou moins présent selon les périodes, mais il est toujours latent.


Corinne : le psoriasis est parfois dû à des problèmes de dévalorisation de soi, bref à un manque de confiance en soi.


Laura : je me reconnais totalement dans ce que tu dis.


Corinne : et pourtant tu fais des podcasts, tu fais des vidéos… Peut-être que si tu en faisais plus, ton psoriasis aurait des chances de disparaître.


Laura : on verra bien, mais autre exemple, je connais énormément de garçon qui souffrent d’eczéma. Penses-tu que l’endroit du corps où il apparaît revêt une importance et une signification particulière ?


Corinne : oui. Je pense que si, par exemple, l’eczéma apparaît sur le visage ou sur les mains, donc des parties “visible”, cela peut refléter une certaine honte ou de la culpabilité. C’est comme les personnes qui rougissent : c’est un problème de peau, certes, mais c’est surtout un problème de confiance en soi. On est dans la peur de l’autre, le comment il va nous considérer. Le psoriasis, c’est comme rougir, mais au stade supérieur.


Laura : d’accord ; mais que peuvent faire les personnes qui souffrent de ces soucis alors ? De quelle manière doivent-ils s’y prendre pour éviter ce désagrément ? Et que peuvent-ils entreprendre en termes de soin ?


Corinne : il est important de prendre ce genre de problème dans sa globalité. Par exemple, si j’ai une personne qui vient me voir pour un problème d’eczéma. Dans ma démarche, je lui demande d’abord si elle est mariée, si elle a des enfants, si elle s’amuse dans sa vie et enfin si elle a des amis. Je vais ensuite lui demander comment elle va, comment vont ses organes, car en naturopathie, on parle beaucoup des émonctoires qui sont des éliminateurs, comme par exemple le foie, les reins, ou les poumons. Et si les organes font bien leur travail normalement, il n’y a pas de problème d’eczéma ou de psoriasis.

Mais ils peuvent aussi fatiguer, notamment la peau. Si elle montre des signes de fatigue et qu’elle n’arrive plus à évacuer toutes ses toxines, c’est à ce moment-là qu’elle créée un problème un peu plus important. Donc, je m’intéresse aussi à l’état des organes, ainsi qu’à son alimentation. Je vais aussi me renseigner sur la qualité de son sommeil et si elle fait du sport.

Enfin, je m’attaque à l’aspect émotionnel, savoir si elle n’est pas en colère par exemple. Et si c’est le cas, je vais lui demander ce qui s’est passé. Et parfois, rien que cet échange entre ma cliente et moi, le fait pour elle de s’exprimer et de verser quelques larmes, de lâcher prise et de prendre conscience de son problème suffit à faire disparaître le problème. Autre exemple, qui n’a rien à voir avec l’eczéma, mais la semaine dernière, une cliente est venue me voir pour des problèmes de muqueuse vaginale.

En poussant le problème plus loin, nous nous sommes rendues compte que ce n’était pas la première fois que ce problème apparaissait, mais la deuxième. À partir de là, on a essayé de lui apporter l’aide nécessaire, comme un rééquilibrage alimentaire. Cela peut aussi être une période de drainage par des plantes ; mais c’est aussi aider à prendre en charge ses émotions. Moi, ce que je j’utilise, ce sont les fleurs de Bach. Tout cela va permettre à la personne de prendre conscience du problème et lui permettre de l’extirper de son corps.

Du coup, elle se sent beaucoup mieux. La solution est d’arriver à extérioriser le problème. On va à la racine du problème. La personne qui est venue me voir pour son problème de muqueuse vaginale n’est pas repartie avec une montagne de traitement, et pourtant, elle n’allait pas bien ; mais rien que le fait qu’on parle de son problème l’a fait pleurer en disant « je ne comprends pas, je ne pleure jamais… »

Laura : oh là là ! Cette phrase en dit long…


Corinne : oui ça en dit long ! Bien sûr, je l’ai rappelée plusieurs fois après pour avoir de ses nouvelles et elle m’a dit qu’elle allait beaucoup mieux.


Laura : c’est déjà énorme ! D’ailleurs, toi qui donnes des consultations, où est-ce qu’on peut te contacter pour celles et ceux qui seraient intéressé ? Où exerces-tu ?


Corinne : alors, je suis à Charenton, ça se trouve en Île-de-France, dans le Val-de-Marne. Il est parfaitement possible de faire des séances sur skype, même pour l’ EFT ça marche sans problème.


Laura : peux-tu nous expliquer ce qu’est « EFT » ?


Corinne : ce sont des tapotements au niveau de différents points d’acupuncture en disant des phrases que l’on va répéter, et qui nous aident à être dans l’acceptation de nos problèmes. Et ces phrases, ajoutées aux tapotements sur les méridiens adéquats vont permettre de libérer toutes les émotions, d’enlever le négatif et quand on enlève le négatif il reste quoi ? Le positif !


Laura : alors en fait, c’est un mélange entre l’acupression et les neurosciences? Car j’avais lu une phrase un jour qui disait qu’il y a une intégration qui se fait au niveau du cerveau.

Corinne : en fait, je dirais plutôt que c’est de la neurolinguistique. Pour moi, les points EFT, c’est de l’énergie. Par exemple, une personne qui a subi un traumatisme comme un accident, ira mieux si elle entreprend une psychothérapie, mais ça n’empêche que les informations négatives restent enfouies dans son champ énergétique. Si par exemple, c’est un problème d’abandon, elle va ressentir une appréhension, lors de sa prochaine rencontre avec un homme qu’elle apprécie beaucoup, d’être abandonnée une seconde fois, car elle a été abandonné lors de son enfance. Elle va comprendre ça, elle va s’en rendre compte, mais ça n’empêche que l’information est encore en elle. Ici, l’EFT va permettre de sortir l’information de son corps.


Laura : donc, une personne qui souffre d’un de ces maux devrait consulter, et effectuer un check-up global afin de se séparer des 7 émotions négatives qui alimentent son problème.


Corinne : certains problèmes peuvent être réglés rapidement, en une à trois séances. Maintenant, si c’est un problème de dépendance affective par exemple, ça englobe beaucoup plus de choses. Ça englobe l’enfance, la famille, le passé et encore d’autres choses. Là, ça demandera forcément plus de séances. Et chaque individu va mettre ses valeurs personnelles là-dedans. Il y a des personne à qui il faudrait qu’il n’arrive rien, et d’autres personnes qui, si elles vont un peu mieux, s’en sortiront.


Laura : bien, c’est très bien si tu fais aussi des consultations skype, je prendrai tes coordonnées si tu permets, comme ça, s’il y a des intéressés, ils pourront te contacter. Parce que je vois beaucoup de méchanceté sur les réseaux sociaux, méchanceté des personnes envers elles-mêmes ! Elles disent par exemple que leur peau est pourrie… J’essaie de leur dire en commentaires d’être plus gentilles avec elles-mêmes et de chercher éventuellement ce que leur peau pourrait exprimer. Ou bien elles disent des choses très définitives comme « il faut que ça disparaisse là, maintenant ». Certaines personnes donnent même l’impression que si elles pouvaient être scalpées, qu’on leur enlève leur peau pour la remplacer par une autre, elles ne seraient pas contre ! J’avais bien aimé aussi le livre de Julien Kaibeck qui a écrit sur les problèmes de peau, car il encourage lui aussi le lecteur à être plus gentil avec lui-même.


Corinne : ça passe déjà par l’acceptation du problème. C’est-à-dire que par exemple, en EFT, quand on tapote sur ce qu’on appelle le point karaté, la première phrase qu’on fait dire au patient si c’est de l’acné c’est : « même si j’ai de l’acné, même si c’est insupportable, même si je ne supporte pas de me regarder dans la glace, même si tout cela est absolument intenable pour moi et que je ne supporte pas qu’on me regarde avec toute cette acné… Je me pardonne et j’accepte les choses ».


Laura : je pense que pour les personnes concernées, ça doit déjà être très fort de dire ces phrases. Vous avez entendu : pour tous ceux qui ont de l’acné, on a une phrase très positive à dire, donnée par une professionnelle et qui peut déjà vous apporter un peu de paix.


Corinne : d’ailleurs je peux vous faire un petit cadeau, et vous faire une petite séance de EFT rapidement.


Laura : ah ! Ce serait super, merci !


Corinne : alors, pour les personnes qui ont de l’acné et qui ne se supportent pas comme ça. On va commencer par ce point-là qui est le point karaté, qu’on va tapoter en disant ceci :


« Même si j’ai de l’acné, même si je ne supporte pas mon visage, même si c’est trop dur de me regarder comme ça dans le miroir tous les jours, et que tous les jours je vois cette peau dégueulasse, je m’aime et je m’accepte comme je suis.


« Et Même si c’est insupportable pour moi d’avoir cette acné, cette rougeur, cette inflammation, même si je ne la veux plus, même si je ne la supporte plus, je m’aime et je m’accepte comme je suis.
« Même si cette acné est insupportable et qu’elle est là depuis trop longtemps, que je ne la supporte plus, je m’aime et je m’accepte comme je suis.


« Je ne supporte pas mon acné. Cette acné est insupportable, elle est rouge, elle est inflammatoire je ne la supporte pas. Cette acné je ne la supporte plus, je veux qu’elle disparaisse. Je veux qu’elle s’en aille ; peut-être qu’elle a quelque chose à m’exprimer…


« Et si j’écoutais ce que ma peau veut me dire ? Et si je lui étais reconnaissante ? Cette acné qui m’insupporte représente-t-elle quelqu’un d’insupportable autour de moi ? Ou quelque chose ? Je ne la supporte pas, cette acné est insupportable. Il y a peut-être autour de moi quelque chose que je ne supporte pas ? »


Voilà c’est une séance courte.


Laura : déjà, je pense que quelqu’un qui est dans la douleur par rapport à ça éprouvera de l’émotion rien que de dire les phrases que tu as dit.


Corinne : oui, en tapotant, ça permet vraiment d’éliminer.


Laura : merci beaucoup Corinne, pour cette séance et ta gentillesse. J’ai vraiment eu plaisir à discuter avec toi la dernière fois au téléphone et à faire ce podcast. Je vais mettre dans cet article les liens pour les personnes qui seraient intéressées à se libérer de toutes ces mauvaises énergies grâce à ton aide. Merci beaucoup Corinne !
Merci Corinne, et au-revoir !

Si vous désirez prendre contacte avec Corine Smadja vous pouvez le faire:

Par mail: corine.smadja@yahoo.fr

Par téléphone : 06.20.92.17.99

Pour découvrir le livre de Corinne Smadja cliquez sur le lien suivant:

Je crée mes cosmétiques bio – C’est facile et pas cher !

Alors mes petits loups qu’en dite vous, pensez vous que vos problèmes de peau sont liées à vos émotions??? Dite le moi en commentaire :).

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